Nombre de vos peintures, si insensiblement posées sur la toile, si poétiquement à la limite de la perception … m’évoquent un de mes compositeurs « fétiche ». Anton Webern. Certes sa musique n’aura jamais la faveur de l’audience ! C’est une perle poétique de l’histoire de l’Histoire de la Musique. Et aussi une référence de l’un de mes maîtres à vivre la musique, disparu l’an passé, Pierre Boulez.
Votre peinture a ces résonnances imperceptibles qui ne se donnent qu’à ceux qui savent écouter les échos de nos impressions secrètes.
Et donc, merci pour votre exposition, qui me donne à croire en notre nécessité d’être.